La donatrice, ancienne pharmacienne, a fait ré-électrifier ces automates. À partir des années 1920, architectes et décorateurs s’intéressent à l’étalage. Pour attirer l’attention, il doit être « vivant », en mouvement ; l’éclairage, l’utilisation des automates, plateaux tournant, flèches mobiles captivent l’attention. Peu à peu les annonceurs comprennent l’intérêt de cette publicité sur le lieu de vente et fournissent du matériel de vitrine. Des fabricants de jouets se spécialisent dans les automates publicitaires, inventant la publicité animée. L’automate devient un véritable support publicitaire.