Orné à la ceinture d’une frise d’amours soutenant des guirlandes, le plateau en marbre de ce guéridon est supporté par des têtes de satyres d’où partent trois pieds reposant sur des griffons assis. La base en loupe d’amboine est rapportée. Longtemps attribué sans preuve au bronzier Thomire, il fut vendu au comte Moïse de Camondo par l’antiquaire Seligmann en 1900.