Dans les années 1980, le Japon devient un acteur majeur d’un marché du jouet mondialisé. En France, l’apparition de Goldorak en 1978 initie la domination de l’animation japonaise dans les programmes pour enfants, qui perdure jusqu’à la fin du Club Dorothée en 1997. Exposés à des publicités qui s’adressent directement à eux, les enfants sont devenus prescripteurs et consommateurs et réclament l’achat de produits dérivés, aubaine pour les fabricants de jouets japonais.