• Les laques de l’époque d’Edo (1603-1868) : trois écritoires Namban (des Barbares du Sud) du début du XVIIe siècle, mais aussi des boîtes de formes et usages variés, dont des inrôs.
• Les objets dédiés à l’encens en Chine et au Japon : variation de la forme du brûle-parfum (métal, émaux cloisonnés, jade) en Chine sous la dynastie Ming (1368-1644) ; objets et nécessaires à encens en laque et en céramique de la période d’Edo (1603-1868) et de l’ère Meiji (1868-1912).
• Un renouvellement de la présentation des porcelaines chinoises et japonaises dédiées à l’exportation. La production de céramiques dédiée au marché européen est mise en regard de la production chinoise faite pour la cour impériale et le goût chinois sous la dynastie Qing (1644-1912).
• Un nouvel accrochage d’estampes (ukiyo-e), de pochoirs (katagami) et de textiles japonais évoque les modèles qui ont inspiré les créateurs et artistes du japonisme. Quelques œuvres illustrent le lien de l’institution avec le célèbre marchand Siegfried Bing, mais aussi avec les artistes-collectionneurs et les collectionneurs-amateurs d’art japonais que furent Raymond Koechlin, Henri Vever, Alexis Rouart. Une douzaine d’estampes d’artistes tels que Suzuki Harubonu (1725- 1770), Utagawa Hiroshige (1797-1858), Katsushita Hokusai (1760-1849), Utagawa Toyokuni (1769-1825) et Kitagawa Utamaro (1753-1806) ont été choisies pour cette présentation.