Ce sujet mythologique est exceptionnel dans l’œuvre de la portraitiste attitrée de Marie-Antoinette. Toutefois, prétexte au rendu du charme d’un nu féminin, il connut un vif succès qui poussa l’artiste à en peindre une seconde version. Lorsqu’il fut exposé au Salon de 1785, le tableau appartenait au comte de Vaudreuil.