De son passage chez Yves Saint Laurent, Sybilla retiendra l’exigence de la coupe, mais aussi la simplicité que demandent les grands vêtements. Son travail, tout dans l’épure, la situe aussi comme l’héritière de Balenciaga. Après avoir défilé à Paris dans les années 1980 et 1990, Sybilla choisit de rompre avec le système convenu de la mode et concentre sa réflexion et sa création sur des vêtements simples qui sont les négatifs sublimes de sa mode. Elle les vend notamment à Madrid et au Japon, dans des lieux qui sont le reflet de son humeur poétique.